
Sue Williams
Longtemps j’ai préféré la compagnie des hommes. Elle me semblait plus directe, plus franche, moins prise de tête. Les « amies » étaient souvent fourbes, juges et parties, nécessitant explications et sous-titrages, questionnements et mesquineries.
Je ne sais si c’est l’âge (à en croire cet article, il se pourrait bien qu’il y ait au moins un lien, je ne te cite rien, tu feras l’effort de le lire en cliquant ici) mais je découvre aujourd’hui avec délice ce que peut apporter la compagnie des femmes.
Bien sûr, j’ai conscience d’avoir de la chance. La chance d’avoir dans mon entourage des femmes aux relations simples, des femmes ayant parcouru un chemin leur permettant d’être bien, bien avec elles, bien avec les autres, d’être des amies, des soeurs, d’être dans l’acceptation totale et dans la pleine ouverture du coeur.
Et ces relations-ci sont un tel cadeau que je ne peux aujourd’hui que regretter que chaque femme ne soit en mesure de s’entourer de ses soeurs avec la même liberté qui m’est donnée. Car les femmes entre elles ont tant à s’apporter.
Sans doute que cet article te semblera, lecteur, bourré de cette sentimentalité tant décriée dans notre société. Certainement qu’il contient bon nombre de lapalissades pour qui détient le même présent que le mien.
Mais si j’en crois ce que lis là ou ici, il semble qu’un long parcours reste à faire pour que les femmes, entre elles, aient des rapports plus sains, sans concurrence, sans jalousie, sans juge, sans partie. On a beau se battre pour l’équité, les femmes restent souvent plus cruelles entre elles que bon nombre d’hommes envers elles.
Alors à toi, lectrice, je te souhaite de vivre de grandes relations féminines inspirantes, de n’être pas tentée de te comparer, mais de t’aimer sans réserve et d’aimer ces femmes qui chacune ont une vie toute différente à te conter.
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