Libérée

Otage libéré

Mon voleur m’a rendue. Il est revenu avec moi sous le bras et m’a ramenée à l’endroit exact où il m’avait kidnappée (si tu n’as pas suivi, tu n’as plus qu’à lire ici pour te rattraper)

Il m’avait donc juste empruntée. Il ne savait pas que je ne me prêtais pas à ces airs-là.

Il m’a lue et en rendant mon exemplaire à sa propriétaire, il a juste dit : « je l’ai lu je vous le ramène c’était super merci ! » (c’est elle qui me l’a rapporté).

Ça m’a donné une envie, une idée que je vais t’exposer : une fois le concours terminé et le prix distribué, j’aimerais me semer, m’essaimer dans des endroits secrets, vous poussez à me chercher, à me trouver. Un grand cache-cache littéraire ! Au hasard de laisser faire, au sort de décider entre les mains de qui me retrouver. J’y laisserai un mot, des coordonnées, quelque chose pour te permettre, à toi lecteur engagé par la destinée, de me contacter et de me dire si tu m’as aimée.

S’essaimer pour te trouver, lecteur, c’est s’aimer assez pour risquer de s’égarer.

S’il ne devait y en avoir qu’un

baignade fortement conseillée

« Les fleurs roses du papier peint » en broché est disponible depuis hier sur Amazon (clique ici lecteur de mon coeur) et déjà un premier commentaire m’a épinglée, telle la fusée de Bashung, au ciel.

J’étais loin hier, loin de mon ordinateur, loin de toi, lecteur. Je prenais un bain dans le lac, je rafraîchissais mes idées sous une agréable chaleur, dans une petite crique paradisiaque, j’oubliais ces dernières journées aux émotions contraires et bouleversantes, je laissais la houle me chavirer pour me recentrer, pour ralentir les battements irréguliers de mon coeur… Et puis je suis rentrée et j’ai lu ce commentaire.

premier commentaire

As-tu idée, lecteur, de l’effet que cela fait ? Sais-tu comme je suis restée interdite, toute parole semblant ne pas être à la hauteur de ce que ces mots ont provoqué ? Je ne sais même pas comment te remercier.

 

Parce qu’au-delà du concours, j’écris exactement pour ça. Pour que toi, lecteur, tu vives un petit moment de bonheur… Et même s’il ne devait y en avoir qu’un, un seul être touché à ce point par mon roman, alors ça suffirait au mien, de bonheur…

Merci, tu viens de soigner en partie mon syndrome de l’imposteur !

À table ! C’est prêt !

Mon roman dispo en Kindle

Voilà lecteur, c’est prêt. Mon roman ne m’appartient plus, il est à toi, je te l’ai confié. Je te laisse Mildred, Aldous et Gilda, je te confie ces petits morceaux de moi en espérant que tu les aimes, qu’ils te régalent, t’émeuvent.

Si tu es très impatient de me lire et que tu ne rechignes pas à lire des e-books, tu peux me commander dès aujourd’hui en format Kindle (mais si tu patientes encore un jour ou deux, tu pourras me serrer contre toi, en broché. Pour l’instant il n’y a que les ricains qui peuvent… et puis les anglais, c’est vrai… et puis les allemands, c’est amusant… et les italiens aussi, tiens… et les japonais, à ce qu’il paraît… si tant est que tout ce petit monde lit le français.). Pour cela, il te suffit de cliquer ici.

Sache tout de même que si tu attends la version papier, je t’offre la version kindle en sus (ce qui est tout de même un plus qui devrait t’aider à patienter).

Il est temps que je t’explique mon pari, que je te raconte de quoi il s’agit. Il s’agit de ma participation à un concours : Les plumes Francophones, un concours avec deux prix, l’un des lecteurs, l’autre du jury. Ça y est ? Tu vois pourquoi je vais avoir besoin de toi ? Oui, pour le prix des lecteurs qui se joue à la vente, à la note, au commentaire enjoué.

Il te faudra m’acheter, me lire, me noter et me commenter sur Amazon. Je vais te demander tout ça et plus encore parce que toute seule, je n’y arriverai pas…

Je vais te demander de me partager (que chacun se débrouille pour me découper, l’un prendra les mains, l’autre les pieds), me promouvoir. Bien sûr, tu ne le feras que si j’ai réussi à t’émouvoir, à te toucher, quelle que soit la manière dont je l’aurais fait… Mais si c’est le cas, alors je te demanderai d’en parler, de harceler tes potes de réseaux (les sociaux virtuels comme ceux de ta vie réelle), de ne pas me prêter (pour l’instant, du moins), non, de les convier (chantage, harcèlement, ligotage serré, use de l’arme qui te plaît) à m’acheter à leur tour et d’enrichir la chaîne…

Je ne sais pas comment je te remercierai mais je te promets que je trouverai un moyen de le faire. Et puis, d’ici quelques jours, je te parlerai d’une jolie surprise en forme de carton d’invitation qui m’a été tendu, mais chaque chose en son temps…