
©LaVilaine
Cette nuit, j’ai rêvé que mon père était Dieu. Oui… Dieu venait me voir pour me l’annoncer, il ajoutait que j’étais le nouveau Messie et tout le monde autour de moi semblait trouver ça parfaitement normal… Tout le monde, sauf moi.
Le rêve en lui-même était assez joli, avec de beaux effets spéciaux à base de nuages qui s’écartent pour laisser apparaître Dieu et deux potes à lui (aucune idée de qui), qui du haut de son ciel-fenêtre, m’annonçait la « bonne » nouvelle…
Te rends-tu compte de l’outrecuidance de mon inconscient ? Non ? Moi, oui. Je me suis donc empressée de l’interroger sur le sujet, dès potron-minet et assez rudement : « C’est quoi le message au juste ? lui ai-je demandé à cet orgueilleux inconscient. Un hommage à Paul Auster ? Tu me la fais à l’envers ? Tu sais bien que je suis athée ! »
D’ailleurs, dans mon rêve, ce qui m’étonnait plus encore que mes nouvelles responsabilités de Messie, c’était bel et bien que Dieu existât. Comment diable (oups !) allais-je convaincre qui que ce soit de croire en moi, alors que moi-même je n’y croyais pas ?
Ah ! Bah voilà ! Le message est peut-être bien là et comme l’a dit une amie « Mais Si ! » Comprendra qui pourra (et là, oui, c’est un hommage conscient à Bobby)…
Bien qu’athée (et non catho) aussi, je ne souviens toujours pas de mes rêves. Donc la raison est t’ailleurs (hommage conscient à Coco)
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